Paroisse Saint Bernard en Oisans

Diocèse de Grenoble-Vienne

Solidarité

Secours catholique

Bourg d’Oisans a la chance d’avoir une équipe, dirigée par Jacqueline Marmonier et un beau local, près de l’école de musique. Ceux qui vivent chichement peuvent y trouver des vêtements et des objets du quotidien, et oublier leur solitude en partageant un bon café.

Le téléphone est : 04 76 80 12 27 et les horaires de permanence :

Mardi               de 13h30 à 16h30

Jeudi                de 13h30 à 16h30

Samedi             de 9h30 à 11h30.

 

 

Ecologie

 

L’avenir de la planète dépend de chacun et aussi de nos actions collectives.

Le pape a écrit une encyclique sur le sujet : « Laudato Si » (= Loué sois-tu, reprenant le début d’une prière de St François d’Assise). Il lie le souci écologique et le développement social. Bien sûr, il y a un aspect privation, mais qui peut occasionner des économies et être compensé par un progrès spirituel, largement inexploré de nos jours.

A chacun de voir comment vivre la sobriété. Cela peut être des petites choses, comme de fabriquer un  sac à pain en tissu pour éviter de consommer des sacs en papier à chaque fois, ou bien fabriquer sa lessive,…

            Echangeons nos bonnes idées et savoir-faire dans ce domaine.

 

Le diocèse est lancé dans une opération « Eglise verte » où chaque paroisse regarde de près là où elle peut faire des économies en énergie.

          Bienvenue à ceux qui voudraient constituer une petite équipe dans notre paroisse en Oisans.

 

 

Travaux

 

Ceux qui auraient des compétences techniques (bâtiment, sono,…) seraient bienvenus pour faire des petits travaux d’occasion.

Le jardin de la cure de Bourg d’Oisans attend des bras pour couper l’herbe, tailler les arbres et faire pousser des tomates.

 

 

Finances paroissiales

 

L’économe paroissial est actuellement Benoît de Courrèges, assisté par Florence Tracol. Le budget est équilibré grâce aux dons des donateurs actuels. Le message ci-dessous est adressé aux autres…

Pourquoi donner ?

Donner est un acte pluriel. C’est d’abord un acte personnel de foi et d’amour, je donne de mon temps, je donne de mon argent. Je ne me contente pas de venir à la messe ou de prier. Le Christ nous invite à partager matériellement tout en nous enrichissant spirituellement.

Donner est un acte collectif pour soutenir la mission de ma paroisse, d’abord celle de ma résidence principale et aussi celle d’occasion, lors de vacances. Donner me rattache à l’Eglise Universelle.

Comment donner ?

Les formes sont, elles-aussi, plurielles. La plus connue est bien sûr la quête de la messe. Elles permettent la vie matérielle de la paroisse. Cependant, 7 quêtes au long de l’année sont dites impérées et soutiennent plus particulièrement la catéchèse, la mission en Afrique, la formation des séminaristes, la Secours Catholique… Chacun donne selon ses possibilités. Une application numérique « la quête », mise en place dans le diocèse, est spécialement appropriée aux temps de confinement ou lorsqu’on n’a pas d’argent liquide en poche.

Vient ensuite le casuel, contribution « tarifée » couvrant la préparation et la célébration des baptêmes, mariages et funérailles.

Un autre forme de don est l’offrande de messe à l’occasion d’une prière pour un malade ou un défunt.

Le denier de l’Eglise, anciennement appelé denier du culte, est, une ou deux fois l’an, le moyen de donner spécialement un salaire aux prêtres et permanent de l’Eglise. Le montant de ce don est bien sûr à la diligence de chacun, même si, un temps, il correspondait peu ou prou à un dixième des impôts versés. S’il est déclaré, ce don donne droit à une réduction d’impôts.

Enfin, il existe les dons personnels sans occasion religieuse particulière, qu’ils soient testamentaires ou du vivant, auxquels nous pouvons ajouter les offrandes que l’on dépose dans un tronc, lors d’achat de lumignons pour soutenir une prière.

Où vont mes dons ?

Les destinataires sont en premier la paroisse, pour les frais courants, le chauffage, l’entretien des sonos, la photocopieuse. Les économies servent aux travaux plus importants comme l’aménagement des cures.

Une petite partie, appelée contribution de solidarité, va au diocèse afin de financer les services diocésains au service des paroisses, la fomation…